04/12/2023

Temps de lecture : 2 min

Les 4 conseils de l’ADEME pour concilier Noël et écologie

(contenu abonné) Avec les déplacements, le sapin, les décorations, les cadeaux, les emballages et les repas, les fêtes de fin d’année ont des impacts écologiques importants. Comment organiser des fêtes de fin d’année festives qui respectent...

(contenu abonné) Avec les déplacements, le sapin, les décorations, les cadeaux, les emballages et les repas, les fêtes de fin d’année ont des impacts écologiques importants. Comment organiser des fêtes de fin d’année festives qui respectent la magie de Noël mais qui soient aussi plus respectueuses de l’environnement ?

1. Offrir des cadeaux à ses proches qui soient aussi des cadeaux
pour l’environnement
Quelques exemples :

  • Le cadeau utile, en privilégiant ce qui servira toujours (livre, plante pour le jardin
    ou ce qui se mange (panier garni de produits bio du terroir, chocolat bio et équitable…) ;
  • Le cadeau dématérialisé grâce à un bon : par exemple, des cours de cuisine,
    un week-end découverte à proximité dans sa région ou dans les régions voisines, un moment bien-être, un abonnement à un service culturel (musée, théâtre…), des places de concert également à proximité du lieu de résidence, etc.
  • Le cadeau de seconde main : Le marché de l’occasion est en plein développement et les Français sont de plus en plus nombreux y avoir recours tout au long de l’année.
  • Moins de cadeaux mais des cadeaux de meilleure qualité : s’organiser par exemple, pour limiter le nombre de cadeaux aux enfants en privilégiant la qualité à la quantité.

2. Organiser des repas festifs en cuisinant local et de saison.

Les produits hors-saison nécessitent souvent des transports plus longs (parfois en avion), pour les acheminer vers leur point de distribution notamment. Ils peuvent être aussi particulièrement voraces en énergie lorsqu’ils sont cultivés sous serre chauffée.

3. Opter pour les transports à moindre impact

Pour rejoindre sa famille ou ses amis, penser aux transports en commun ou encore, au co-voiturage : à ce jour, 80 % des conducteurs roulent seuls dans leur voiture. Si cela n’est pas possible, la pratique de l’éco-conduite reste une manière de limiter ses consommations de carburant.

4. Pour vous aider à vous orienter vers un sapin naturel, cultivé de façon plus respectueuse de l’environnement, des labels ont été créés. L’ADEME en recommande certains, dont : la certification Plante Bleue, le label MPS, le label Max Havelaar, le label AB. Par ailleurs, si vous choisissez l’option du sapin artificiel, veillez à ne pas le changer trop souvent. Dans l’idéal, il faudrait le conserver au moins 20 ans ! L’achat d’un sapin en pot est également une bonne idée s’il est replanté rapidement. Après les fêtes, pas question de jeter son sapin avec les ordures ménagères car il pourra encore servir. Déposez-le dans les points de collecte prévus par votre ville, par certains magasins ou en déchèterie. Il sera broyé pour être utilisé en paillage dans les espaces verts outransformé en compost.

Allez plus loin avec The Good

The Good Newsletter

LES ABONNEMENTS THE GOOD

LES ÉVÉNEMENTS THE GOOD