Dire merci par email, acheter des fleurs, manger des bananes, adopter un chaton ou prendre l’avion, toutes ces activités ont une empreinte carbone. Et bizarrement, notre intuition n’est pas toujours juste : certains gestes qui semblent mauvais sont en réalité sans conséquence, lorsque d’autres sont plus nocifs qu’on ne le pense. Peut-on encore manger des bananes permet de décrypter son environnement, et d’avoir en tête les bons ordres de grandeur. A nous d’engager les bonnes batailles.
« Peut-on encore manger des bananes » est l’adaptation d’un best-seller anglais dans une version entièrement remaniée et mise à jour. On y parle baguette et TGV, et les chiffres correspondent à l’empreinte carbone française.
Mike Berners-Lee est professeur à l’université de Lancaster au Royaume-Uni, et un pionnier de la quantification carbone. Il est également l’auteur de « Il n’y a pas de planète B », que le Financial Times a qualifié de “manuel pour transformer l’humanité”.
L’avis de la rédaction : Plus de 200 pages décryptent le carbone généré par nos activités humaines avec des chiffres la plupart du temps évalués par l’auteur qui a croisé les sources et méthodes de calcul. Une petite trentaine de pages viennent ensuite proposer des solutions concrètes et accessibles à toutes et tous pour démininuer son empreinte carbone et faire évoluer ainsi ses comportements. Un livre instructif aussi ludique à lire qu’utile.