Après avoir enrichi sa ligne éditoriale et lancé le 1er baromètre sur l’éco-engagement des Français, GEO (Prisma Media groupe/ Vivendi) agit aujourd’hui pour limiter son propre impact environnemental et inspirer ses lecteurs à faire de même. La marque se dote ainsi d’une charte d’engagement et s’associe à 1% For The Planet.
La rédaction se dote d’une charte dédiée aux pratiques responsables de ses journalistes, réaffirmant son engagement pour une information environnementale fondée sur l’état des connaissances scientifiques. Les journalistes pourront bénéficier de formations en continu afin d’approfondir et mettre à jour leurs connaissances en matière environnementale. Elle prévoit également de maîtriser l’empreinte individuelle de chacun en promouvant des modes de production de l’information bas carbone, que ce soit dans les modes de transport ou encore d’hébergement lors des déplacements.
GEO croit également dans son levier publicitaire pour faire changer les choses. En plus de travailler à la décarbonation de ses supports print et digitaux pour réduire l’impact de la diffusion des publicités, la régie publicitaire de GEO adopte un cadre de référence repensé pour accompagner l’ensemble des acteurs de la communication dans leur transition. L’objectif est d’encourager les annonceurs et les agences, via des offres spécifiques et un accompagnement personnalisé, à valoriser des campagnes promouvant des produits ou comportements vertueux, compatibles avec un développement durable de
nos sociétés.
Enfin, l’engagement de GEO se reflète dans les initiatives déployées tout au long de sa chaîne de valeur et dans le travail des équipes. L’ensemble des actions est répertorié dans sa charte d’engagement.
« Chez GEO, nous sommes conscients du rôle de l’information dans la sensibilisation du public aux enjeux du dérèglement climatique, rôle que nous remplissons depuis le lancement du magazine il y a 45 ans. Aujourd’hui, à travers cette charte d’engagement de la marque et le soutien à 1% for the Planet, notre engagement va plus loin, en impliquant les équipes fabrication de nos magazines, les équipes IT de Geo.fr, le marketing et la régie, afin que toutes les parties prenantes, partenaires et annonceurs compris, participent à la réduction de notre empreinte carbone et à notre engagement sociétal », explique Myrtille Delamarche, rédactrice en chef de GEO.
