L’OCCITANE en Provence a collaboré avec l’Institut de Chimie de Nice et le Musée International du Parfum à Grasse, autour d’un projet de R&D unique qui vise à revaloriser les “plantes à parfum oubliées”. Ce projet a permis de faire renaître un héritage historique précieux qu’est cette source fascinante d’innovations mais il a aussi mis en évidence l’interconnexion entre approvisionnement en ingrédients et régénération de la biodiversité. Ce projet de recherche d’envergure a permis de découvrir des plantes oubliées des nez et de libérer des connaissances inédites. Il a également participé à la réintroduction et la réhabilitation de ces plantes en tant qu’ingrédients innovants pour la parfumerie.
Pascal Portes, R&D parfums et ingrédients pour L’OCCITANE en Provence déclare : “ La nature est le plus grand laboratoire à ciel ouvert qui soit ! Chez L’OCCITANE, nous débordions d’enthousiasme à l’idée de pouvoir explorer des domaines inconnus sans avoir la moindre idée de ce que nous allions découvrir. ”
Documentés par des centaines d’ouvrages, et enrichis par de nombreuses interviews d’experts, ces travaux ont permis de produire une littérature édifiante sur l’identité, l’histoire, la symbolique, les usages, les odeurs, les propriétés médicinales ou encore les causes probables de disparition de ces plantes oubliées, ce qui a permis de créer une base de données de 800 plantes à parfum. L’engagement de L’OCCITANE en faveur de la biodiversité a conduit la marque à s’intéresser plus particulièrement à l’aubépine et au mélilot, toutes deux identifiées comme présentant un intérêt majeur pour la parfumerie et contribuant à la régénération de la biodiversité.