Le Grand Prix de la Good Economie récompense les initiatives responsables des entreprises et des territoires pour mieux célébrer les transitions sous l’angle des solutions et de l’action, en réconciliant durabilité et prospérité.
Notre marché a besoin de faire émerger de nouveaux modèles de croissance, de s’engager sur un chemin de progrès pour un changement d’échelle notable. C’est parce que nous partageons ce même engagement que nous nous associons, pour la 4ème année consécutive, à The Good et au Grand Prix de la Good Economie.
Bâtir aujourd’hui une entreprise pour demain, c’est renforcer ses assets et sa stratégie de valeur, mais c’est aussi se positionner aux avant-postes de la transformation responsable. Les citoyens n’attendent pas des entreprises qu’elles soient « parfaites », mais qu’elles montrent l’exemple en prenant conscience des défis environnementaux et sociétaux, et qu’elles agissent en questionnant leur impact réel et leur utilité.
L’industrie des médias et de la communication est un puissant vecteur de transformation culturelle. Elle est utile lorsqu’elle crée les conditions du dialogue, impulse de nouveaux messages, valeurs et modèles qui contribuent à faire évoluer les imaginaires et les représentations. C’est justement parce qu’elle dispose d’un très fort pouvoir d’influence sur la société, qu’il est de son ressort de créer le réflexe de la responsabilité et de s’assurer de sa désirabilité. A l’image du groupe Les Echos-Le Parisien, les grands groupes médias d’information sont particulièrement à même d’incarner cette mission. En produisant chaque jour des contenus de qualité, fiables et sourcés, ils sont le socle du débat démocratique.
La régie Les Echos Le Parisien Médias prolonge l’engagement du groupe, notre secteur peut et doit être un levier efficace des transitions, créer de la valeur et de la croissance durable. En relation étroite avec nos clients, nous interrogeons notre rôle, nos pratiques et nos offres. Nous avons identifié deux principaux champs d’action : le premier, contribue à impulser de nouveaux récits qui favorisent les changements de comportement. Le second enjeu concerne l’impact même de la publicité. Nous devons faire progresser les bonnes pratiques : la mesure de l’empreinte des campagnes, la sobriété numérique, les cadres de diffusion publicitaires, la chaîne de valeur programmatique, etc.
Notre rôle est d’accompagner, voire d’accélérer le changement. Cela passe nécessairement par le collectif. A ce titre l’initiative du SRI avec le programme Sustainable Digital Ad Trust (SDAT) valorise toutes les transitions des régies en faveur d’une publicité́ digitale plus responsable.
Nos métiers regagneront en confiance et reconnaissance s’ils sont au rendez-vous de leur propre transformation.
Corinne Mrejen / Directrice Générale Pôle Les Echos-Le Parisien Partenaires – Chief Impact Officer